Il suffit parfois d’un changement d’adresse, d’un mariage à l’origine d’un « nouveau nom », d’une clause bénéficiaire imprécise, de la « presque ignorance » que l’on pourrait être bénéficiaire ou d’une perte d’un original de contrat pour ne pas recevoir le capital et les intérêts d’une assurance vie, d’un PER (Plan d’Epargne Retraite), d’une convention d’assurance obsèques. Pourtant, rien n’est perdu.